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L’économie ivoirienne est l’une des plus diversifiées d’Afrique. Elle est largement basée sur l’agriculture, avec le cacao et le café comme principales exportations. Le pays possède également un secteur minier solide, avec l’or et les diamants parmi les principales exportations. Le tourisme est également un élément important de l’économie ivoirienne. De nombreux visiteurs viennent profiter des plages et des forêts tropicales du pays.

Les entreprises ivoiriennes cherchent de plus en plus à se développer sur les marchés régionaux. En effet, le pays s’efforce d’améliorer ses infrastructures afin de soutenir cette croissance. Le gouvernement s’est également efforcé de promouvoir le développement du secteur privé, et un certain nombre d’entreprises ivoiriennes se portent bien, tant au niveau régional qu’international.

Côte d’ivoire : Une croissance dynamique

Après trois décennies de hauts et de bas politiques et économiques en Côte d’Ivoire, une période de croissance robuste a débuté en 2012. Depuis 1960, la trajectoire de croissance de la Côte d’Ivoire a été mouvementée. L’économie du pays était forte dans les années 1960 et 1970, mais a ensuite décliné dans les années 1980. Puis au début des années 1990 en raison de l’instabilité politique et de la mauvaise gestion économique. Cependant, depuis la fin des années 1990, la Côte d’Ivoire est de nouveau sur une trajectoire ascendante. Ses taux de croissance sont d’environ 7 % par an en moyenne de 2000 à 2010.

Cette période de croissance est due à un certain nombre de facteurs, notamment une meilleure gestion de l’économie, l’augmentation des prix des produits de base (en particulier du cacao et du pétrole), des niveaux élevés d’investissements directs étrangers (IDE) et une amélioration de la sécurité après la fin de la guerre civile en 2003.

Depuis 2012, la croissance s’est poursuivie à un rythme soutenu, avec une moyenne de plus de 8 % par an.

Situation économique du secteur privé

La Côte d’Ivoire avait l’un des taux de développement économique les plus forts du continent africain avant la pandémie mondiale, avec un taux de croissance annuel moyen de 8 % depuis 2012. Cependant, en raison de la situation sanitaire mondiale, les ménages et les entreprises ivoiriens ont été gravement touchés, avec un ralentissement de l’économie à 1.8%. En 2021, l’économie ivoirienne devrait s’améliorer grâce à une forte demande intérieure et des exportations continues.

Le secteur privé représente plus de 60 % du PIB en Côte d’Ivoire et constitue un moteur essentiel de la croissance économique. De nombreuses entreprises ivoiriennes ont réagi à la situation économique difficile en adaptant leur modèle économique ou leurs stratégies.

Malgré cela, le secteur privé ivoirien a été affecté par le ralentissement de l’économie ivoirienne.

Le gouvernement ivoirien a pris des mesures pour soutenir les PME, notamment la création d’un fonds pour financer leur développement, la réduction des taxes et la facilitation de l’accès au crédit.

La Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire (CCI) est la principale organisation du secteur privé en Côte d’Ivoire. La CCI représente les intérêts des entreprises au niveau national et international. Elle fournit également des conseils et un soutien aux entreprises sur une série de questions, notamment en matière de fiscalité, de droit et d’accès au financement.

Côte d’ivoire : Exportation de biens et de services

La Côte d’ivoire une plateforme d’échange mondiale pour le commerce international avec un large éventail de biens et de services d’exportation. Les principales exportations du pays sont le cacao, le café, les bananes, l’huile de palme, les ananas.

La Côte d’Ivoire est également une destination importante pour les investissements étrangers. Un certain nombre de sociétés internationales ont établi des opérations dans le pays. La stabilité de l’environnement politique du pays et la solidité de ses infrastructures font partie des facteurs qui ont attiré les investisseurs.

Il existe plusieurs façons d’exporter des biens et des services en Côte d’Ivoire. Par exemple, les entreprises peuvent établir une présence dans le pays en créant une filiale ou une coentreprise. Elles peuvent également travailler avec des agents ou des distributeurs locaux pour vendre leurs produits et services.

Une croissance liée à la diversification des secteurs économiques

L’économie du pays était auparavant tributaire de l’exportation de produits agricoles de base tels que le café et le cacao. Cependant, le gouvernement s’est efforcé de diversifier l’économie. Elle attire désormais des investissements dans d’autres secteurs tels que l’industrie manufacturière, le tourisme et les mines.

Le secteur manufacturier est l’un des secteurs qui connaît la plus forte croissance en Côte d’Ivoire. Le gouvernement investit dans les infrastructures et offre des incitations pour attirer les investisseurs. Le secteur du tourisme connaît également une croissance rapide, le nombre d’arrivées de touristes augmentant de 20 % par an.

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La question du dédouanement des marchandises dans les bureaux des frontières terrestres était récemment au cœur des débats entre le gouvernement et les commerçants.

Le Comité de Concertation Etat-Secteur Privé (CCESP), qui s’est réuni après la grève avortée de la Fédération Nationale des Commerçants de Côte d’Ivoire (FENACCI), vient de décider des périodes et des documents à fournir aux différents postes de douane pour les opérations de dédouanement.

Deux périodes ont été définies. La première, celle du 29 mai au 02 juillet 2014, concerne les bureaux de douane de Noé, Niablé, Takikro, Sipilou, Pogo et Ouangolodougou.

Les commerçants devront présenter comme documents exigés, la liste de colisage ; la copie de la déclaration de transit et la lettre de voiture. Les opérations devront être exclusivement traitées par les services des douanes.

Pour cette période, le CCESP a décidé que les déclarations soient établies par les commissionnaires en douane agréés ou par déclaration simplifiée. Les mêmes bureaux de douane ont été retenus pour la seconde période qui court du 2 juillet au 30 août 2014.

Il en est de même pour les documents exigés pour chaque opération de dédouanement, sauf que pour cette période, il est également recommandé la facture détaillée. Cette fois-ci, les opérations seront traitées conjointement par les services des douanes et la société Webb Fontaine. Les déclarations seront établies exclusivement par les commissionnaires en douane agréés.

Au mois de mai 2014, la FENACCI avait dénoncé certains travers au niveau du dédouanement des marchandises aux frontières terrestres. Les échanges avec le gouvernement avaient permis d’obtenir la levée de la grève avec comme acquis, la suspension provisoire des contrôles intempestifs de la facture normalisée, le dédouanement des camions de marchandises bloquées depuis un mois aux frontières terrestres, la mise en place d’un cadre de concertation gouvernement/commerçants, ainsi que l’ordonnance portant réajustement du montant maximum du prélèvement de volaille morte de basse-cour et leurs abats réfrigérés ou congelés.

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Un atelier sur la filière manioc a ouvert ses travaux jeudi à Yamoussoukro (centre), en vue d’organiser les intervenants dans la recherche, la production, la transformation et la commercialisation du manioc en une plateforme d’innovation pour augmenter leur productivité et se partager les plus-values.

L’Atelier organisé par l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), s’inscrit dans le cadre du programme de productivité agricole en Afrique de l’Ouest. Il rassemble les acteurs de la filière manioc à savoir les distributeurs d’intrants, les producteurs de manioc, les commerçants, les transformateurs de manioc, et les consommateurs de la région du Bélier.

Il vise à analyser la chaîne des valeurs qui consiste à identifier les différents acteurs, la nature des relations qui existent entre ces acteurs, analyser les forces et faiblesses, les opportunités et les menaces au niveau de chaque acteur et identifier également les besoins en renforcement de capacité pour aboutir à la fin de l’atelier sur un plan d’action.

’’Ce plan vise à identifier les différentes actions à mener pour pouvoir lever les différentes faiblesses, contraintes et menaces que chacun des acteurs rencontre dans l’exercice de ses activités, afin de les rendre performants ’’ a déclaré à l’ouverture des travaux la coordonnatrice du programme de productivité en Afrique de l’Ouest pour le compte de l’Anader Mme Léa Akpangny Kanga.

Le programme de productivité agricole couvre tous les pays d’Afrique de l’Ouest et chaque pays choisit ses spéculations. En côte d’Ivoire, il existe plusieurs types de plateformes d’innovation qui concernent la banane plantain, le maïs, le riz, l’igname, le porc et la volaille traditionnelle.

’’Dans chaque département, nous mettons les plateformes sur la spéculation qui est majeure, c’est le cas à Yamoussoukro où le manioc est beaucoup cultivé et consommé dans la région du bélier’’ a justifié Mme Léa Akpangny.

Le projet de création de la plateforme d’innovation de la chaîne des valeurs du manioc est exécuté par l’Anader qui avait dans sa première étape, réuni en décembre dernier, les agents facilitateurs sur les missions de la plateforme, son organisation, son fonctionnement, ses missions et avantages.

Réceptif au message du DG de Coton Ivoire, les responsables des organisations de producteurs de coton ont promis mettre en place des mécanismes de contrôle afin d’éviter ces situations à l’avenir.

Si la dernière campagne cotonnière en Côte d’Ivoire a été marquée par des performances record, celles-ci ne parviennent pas à cacher, aux yeux de Vamissa Diomandé, Directeur Général d’Ivoire Coton, les défaillances enregistrées du point de vue de la qualité.

En effet, affirme-t-il, « le coton de la Côte d’Ivoire connait une décote sur le marché international et est moins bon que celui du Burkina Faso et du Mali alors que c’était la situation inverse par le passé ». Cette situation a pour cause principale les mauvaises pratiques de certains producteurs qui mouillent leur production ou y emballent des graviers afin d’en augmenter le poids et ainsi gagner plus d’argent à la vente.

Le DG de Coton Ivoire

Réceptif au message du DG de Coton Ivoire, les responsables des organisations de producteurs de coton ont promis mettre en place des mécanismes de contrôle afin d’éviter ces situations à l’avenir.

Au terme de la campagne 2013/2014, la production ivoirienne était de 405 227 tonnes, un niveau jamais atteint. La culture a rapporté aux agriculteurs 19, 727 milliards de francs CFA.

Face au faible taux d’industrialisation du secteur agricole, les autorités ivoiriennes multiplient des initiatives pour pallier cet état de fait et émettent le voeu de relever le défi de la transformation locale des produits agricoles.

Lors d’un conseil des ministres mercredi, le gouvernement ivoirien a exprimé sa volonté d’accroître la compétitivité des exportateurs et transformateurs locaux.

« Le gouvernement entend accroître le niveau de compétitivité des opérateurs locaux intervenants dans l’exportation et/ou la transformation de fèves de cacao », a expliqué la porte-parole adjointe du gouvernement Affoussiata Bamba-Lamine.

Selon Mme Bamba-Lamine, ces exportateurs et/ou transformateurs locaux qui seront « minutieusement triés » suivant des critères établis seront notamment exonérés de certaines « taxes à l’exportation » ainsi que de certaines « redevances parafiscales.

TRANSFORMER 50% DES PRODUITS AGRICOLES

Lors d’une rencontre fin août à Abidjan relative au Projet d’appui au développement et à la compétitivité des entreprises de transformation de produits alimentaires locaux (Padec), le directeur de cabinet du ministre ivoirien de l’Agriculture Ismaïlia Brédoumi a souligné que la Côte d’Ivoire « accorde un intérêt particulier aux initiatives locales pour la transformation des produits alimentaires ».

A en croire M. Brédoumi, le pays a enregistré 13 millions de tonnes de produits vivriers au cours de l’année 2013 avec des pertes postculturales estimées à 30% ».

« Ce projet devrait redynamiser le secteur et aider à transformer 50% de nos produits agricoles », a-t-il signifié, ajoutant qu’il devrait également permettre de lutter contre la malnutrition.

« La Côte d’Ivoire enregistre au niveau nutritionnel des enfants et des femmes, un taux de malnutrition de l’ordre de 7,5% » et dans les zones rurales, un pourcentage de l’ordre de 12% », a-t-il révélé.

Pour sa part, le représentant de la Banque mondiale, Acchandy Yao, a assuré que son institution va « accompagner » la Côte d’Ivoire à créer une chaîne agricole en vue de permettre des maillons dans le cadre de la transformation des produits alimentaires, surtout en milieu rural.

UNE SYNERGIE D’ ACTIONS

Les autorités et les experts tentent de conjuguer leurs efforts pour promouvoir la transformation locale.

Dans cette mouvance, un Salon international des équipements et des technologies de transformation a été organisé récemment à Abidjan.

Selon les organisateurs, cette rencontre de grande portée économique visait à découvrir et vulgariser les équipements et les technologies de transformation des produits tels que l’anacarde auprès des investisseurs nationaux et internationaux, et à faire la promotion de la consommation locale des produits.

« Les fabricants d’équipements et des technologies de transformation de produits alimentaires ont eu l’opportunité d’exposer et de vendre leurs machines et d’accélérer l’immense potentiel du secteur alimentaire africain, et plus particulièrement en Côte d’Ivoire », a noté le Directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde (CCA) Malamine Sanogo.

Pour des experts, il convient de créer une dynamique sous- régionale en matière de transformation industrielle.

Ils se sont alors réjouis de la mise sur pied du Projet régional d’industrialisation de produits alimentaires qui regroupe plusieurs entreprises de transformation des produits alimentaires de divers pays africains, notamment de Côte d’Ivoire, du Burkina Faso et du Mali.

« C’est la concrétisation d’une vision ambitieuse, celle de la mise en place d’un processus d’industrialisation des produits alimentaires d’Afrique », a noté Alimata Coulibaly, responsable de l’une des entreprises impliquées, en charge de la transformation, en produits finis, de plusieurs produits alimentaires.

CRÉER DES EMPLOIS POUR LES JEUNES

Pour Mamadou Bamba, un expert, la valorisation des produits agricoles locaux est un défi majeur à relever afin d’accroître les revenus des producteurs et des populations rurales des zones de production permettant ainsi de lutter contre la pauvreté en milieu rural.

D’autres experts ont indiqué que la transformation industrielle des produits au niveau local comporte plusieurs autres avantages dont la création d’emplois au profit des jeunes.
La question de l’industrialisation locale préoccupe les autorités ivoiriennes qui ont fait de la transformation de l’agroalimentaire, le challenge des horizons 2020.

Le patron du géant suédois du prêt-à-porter Hennes & Mauritz (H&M) a estimé le 15 janvier que l’Afrique subsaharienne dispose d’un « un potentiel énorme » dans l’industrie textile.

« Je pense qu’il y a un potentiel énorme en Afrique subsaharienne pour ce qui concerne la production », a déclaré le directeur général du groupe, Karl-Johan Persson, dans un entretien accordé au quotidien économique suédois Dagens Industri.

« Nous avons démarré avec une production à petite échelle en Éthiopie et allons voir comment ça marche. Cela paraît vraiment intéressant », a-t-il ajouté, indiquant que « les représentants gouvernementaux, Swedfund (banque de développement du gouvernement suédois) et les ONG saluent l’arrivée de H&M ».

M. Persson a également révélé que H&M compte envoyer des dirigeants dans d’autres endroits en Afrique pour prospecter. « On regarde plusieurs pays en Afrique, par exemple l’Afrique du Sud », a-t-il précisé.

L’Asie concentre jusqu’à présent 80 % de la production de H&M, mais des changements sont prévus à long terme. « Il n’y aura pas de changements spectaculaires dans la répartition de la production entre pays à court terme. Mais il pourrait y avoir des changements un peu plus importants à long terme. Cela dépendra de la façon dont évolueront les prix, la qualité et les délais », a déclaré le patron de H&M.

En réalité, l’intérêt naissant du groupe pour l’Afrique s’explique surtout par l’augmentation des salaires en Chine.

Selon le Wall Street Journal, le coût de production d’un vêtement fabriqué actuellement en Ethiopie est moitié moins cher qu’un vêtement fabriqué en Chine en 2011, dernière année pour laquelle ces statistiques sont disponibles.

En outre, les coûts de transport et les délais de livraison pourraient s’en trouver réduits, du fait de la plus grande proximité entre les côtes africaines et le marché européen, principale source de revenus du groupe.

M. Persson a, par ailleurs, relevé le « potentiel énorme » pour les ventes en Afrique, « où beaucoup de pays ont une croissance vraiment rapide, où il y a une classe moyenne qui monte ». L’Afrique du Sud, où le groupe Suédois compte s’implanter en 2015, doit être le troisième pays du continent où l’enseigne sera présente, après le Maroc et l’Égypte.

Le sommet Etats-Unis/Afrique vient de réunir du 04 au 06 août 2014 à Washington, autour du Président Barack Obama, 50 dirigeants et chefs de gouvernement d’Afrique.

Le point essentiel préconisé par le Président Américain est le développement du commerce régional et international dans un environnement sécurisé et démocratique en vue d’une croissance durable de l’Afrique.

L’Ambassade des Etats-Unis est formelle : « l’augmentation du commerce régional et international est l’un des moteurs de l’extraordinaire taux de croissance moyen annuel du PIB africain, qui s’est élevé à 5,1 % au cours de la dernière décennie.

Le président Obama et son gouvernement se sont engagés à rendre cette croissance durable et à l’accélérer par le biais d’une stratégie d’ensemble visant à réaliser le potentiel d’un renouvellement de la loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique (AGOA) ».

Cette stratégie comprend les éléments clés suivants :

• Le renouvellement et l’actualisation de l’AGOA afin d’accroître les perspectives de l’Afrique en matière d’accès aux marchés ;

• L’établissement de synergies par l’alignement de l’assistance ;

• L’amélioration des infrastructures afin d’accroître la compétitivité ;

• La Consolidation du renforcement des capacités commerciales, de la production de valeur ajoutée et des chaînes logistiques pour améliorer l’usage de l’AGOA ;

• La création de nouveaux marchés pour l’Afrique.

« Depuis quatorze ans, l’accès au marché américain en franchise de douane, en vertu de l’AGOA, contribue au succès économique de l’Afrique et les exportations en provenance d’Afrique subsaharienne vers les Etats-Unis ont plus que doublé tandis que les exportations de produits hors pétrole et minéraux ont quadruplé.

L’application des critères d’admissibilité à l’AGOA ainsi que l’engagement avec des gouvernements africains aux termes de l’initiative présidentielle Trade Africa sont venus renforcer des actions plus générales des Etats-Unis et de l’Afrique visant à promouvoir la bonne gouvernance et à améliorer le cadre économique d’un certain nombre de pays, ce qui contribue à en faire une destination plus attractive pour les investissements.

Afin de réaliser pleinement la promesse de l’AGOA, le gouvernement se propose de renouveler celle -ci et d’améliorer l’AGOA, en s’engageant davantage en matière de facilitation des échanges et d’investissement et de continuer d’étendre sa large gamme d’assistance au renforcement des capacités commerciales », poursuit le communiqué.

Du coup, le renouvellement et l’actualisation de l’AGOA afin d’accroître les perspectives de l’Afrique en matière d’accès aux marchés, s’imposent. Le gouvernement s’engage à œuvrer avec le Congrès pour renouveler et actualiser l’AGOA afin d’accroître les perspectives de l’Afrique en matière d’accès aux marchés, d’encourager les investissements américains sur le continent et de soutenir une croissance large et des échanges bilatéraux, en autorisant la prorogation à long terme de l’AGOA, y compris les dispositions sur les tissus fabriqués dans des pays tiers.

Une prorogation à long terme de l’AGOA garantira une plus grande certitude du climat des investissements, contribuera à encourager ce type d’investissement et permettra aux bénéficiaires africains moins avancés de poursuivre le développement de leurs capacités à commercer et à tirer profit des préférences de l’AGOA.

Accroître la couverture de l’AGOA en termes de produits.

« L’AGOA prévoit déjà l’accès en franchise de douane à 97,5% des lignes tarifaires pour pratiquement tous les bénéficiaires de l’AGOA. Il reste cependant 316 lignes tarifaires, pour la plupart des produits agricoles, qui sont actuellement exclues. Si ces produits sont historiquement sensibles en termes d’importation, il importe d’examiner la possibilité d’en inclure désormais certains dans l’AGOA », indique par ailleurs le communiqué qui précise qu’ « Améliorer les règles d’origine. L’AGOA figure parmi les accords commerciaux américains les plus souples en matière de règles d’origine. Toutefois, dans un souci d’actualisation des règles, le gouvernement étudie les moyens d’accroître encore la souplesse, d’encourager l’intégration régionale et le développement de chaînes de valeur régionales et d’augmenter les incitations aux échanges entre les Etats-Unis et l’Afrique. »

Actualiser les critères d’admissibilité et les processus de révision.

Les critères d’admissibilité à l’AGOA et les processus de révision n’ont pas été actualisés depuis l’entrée en vigueur de la loi, malgré les changements intervenus dans les pratiques commerciales en Afrique et dans le monde au cours des quatorze dernières années. Le gouvernement étudie les moyens d’actualiser les critères pour répondre aux défis d’aujourd’hui et améliorer l’efficacité des mécanismes de révision ».

Etablissement de synergies par alignement de l’assistance

« Le président Obama a signé un mémorandum présidentiel chargeant les agences de recommander des stratégies visant à coordonner leurs activités de renforcement des capacités en matière d’échanges commerciaux et d’investissement, à la fois au sein du gouvernement et avec un certain nombre de partenaires : gouvernements africains, secteur privé, communautés économiques régionales et partenaires internationaux tels que la Banque africaine de développement.

Le Groupe de pilotage étudiera différentes options, entre autres le soutien des efforts africains visant à développer des stratégies d’exportation AGOA propres à certains pays ou à certaines régions, l’élaboration de conventions définissant les stratégies complémentaires et investissements à effectuer par les pays de l’AGOA, et la constitution de partenariats avec des entreprises ou organisations commerciales pour développer des initiatives d’approvisionnement du secteur privé ».

Amélioration des infrastructures afin d’accroître la compétitivité

Les Etats-Unis vont associer l’AGOA à « un maillage d’initiatives tendant à éliminer les contraintes liées à l’infrastructure, pointées par un certain nombre d’études récentes comme un obstacle majeur au développement des échanges commerciaux en Afrique et à l’amélioration de la compétitivité.

Résoudre les contraintes liées à l’infrastructure lourde.

L’inadéquation des infrastructures, notamment dans les secteurs de l’énergie et du transport, freine la capacité des entreprises africaines à prendre une part plus importante aux échanges régionaux et internationaux et entrave l’investissement international en Afrique.

• En juin 2013, le président Obama a lancé Power Africa, une initiative novatrice gérée par le secteur privé dont l’objectif est de doubler l’électrification en Afrique subsaharienne en s’attaquant aux principaux obstacles au développement du secteur de l’énergie.

Power Africa vise à augmenter la capacité de production électrique de plus de 10 000 mégawatts dans six pays africains lors de la première phase, ce qui permettra de faire entrer l’électricité dans plus de 20 millions de foyers supplémentaires et de structures commerciales.

• L’initiative U.S.-Africa Clean Energy Finance (ACEF) a pour objet principal le soutien au déploiement d’énergies renouvelables et d’infrastructures afférentes, complément clé aux sources d’énergie plus traditionnelles en Afrique.

L’ACEF aligne l’expertise en matière de planification de projets de l’Agence des Etats-Unis pour le commerce et le développement (USTDA) avec les outils de financement et de réduction des risques de l’Overseas Private Investment Corporation (OPIC) afin de soutenir les investissements du secteur privé et d’accroître l’aide aux entreprises et exportations américaines dans le secteur de l’énergie propre en Afrique subsaharienne.

La première phase du projet est en cours et veut réunir plus de 1 milliard de dollars d’investissements en projets dans toute l’Afrique.

• L’Agence des Etats-Unis pour le commerce et le développement (USTDA) utilise ses outils de planification de projet et de renforcement des partenariats, notamment les études de faisabilité, l’assistance technique et les missions commerciales inversées, pour concevoir des infrastructures d’énergie, de transport et de télécommunications susceptibles d’augmenter les capacités d’échanges et de réduire le coût des activités commerciales.

• La Millenium Challenge Corporation (MCC) a fourni plus de 3 milliards de dollars destinés à des contrats d’assistance aux échanges, essentiellement par le biais d’infrastructures telles que routes, ports et aéroports, mais aussi à améliorer la productivité des industries tournées vers l’exportation, dont l’agriculture, qui profitent aux petites et moyennes entreprises.

Dans un deuxième temps, la MCC va intensifier son analyse de la compétitivité commerciale, y compris celle des lignes de produits de l’AGOA, pour les bénéficiaires de l’AGOA. La MCC étudiera également les perspectives d’intégration régionale pouvant faciliter les échanges et régler la question des barrières commerciales par des réformes politiques et institutionnelles.

• Grâce à son engagement auprès de TradeMark East Africa (TMEA), l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID) traite la question des infrastructures portuaires dans les grands ports de Mombasa, au Kenya, et de Dar es-Salaam, en Tanzanie. Les Etats-Unis souhaitent renforcer cette action, notamment en améliorant les échanges et le transport le long du couloir nord et du couloir central.

• Les Etats-Unis se proposent de tirer profit de leurs liens avec les banques multilatérales de développement, tout particulièrement la Banque africaine de développement et la Banque mondiale, ainsi qu’avec d’autres pays donateurs, afin de les inciter à investir des fonds supplémentaires dans les infrastructures, par le biais notamment de projets régionaux, pour aider les pays africains à améliorer leur compétitivité et accroître l’utilisation de l’AGOA.

Améliorer les infrastructures légères.

Le manque d’efficacité et la corruption frontalière figurent parmi les plus gros obstacles au commerce en Afrique. Ces problèmes pèsent particulièrement sur les pays enclavés.

• Les Etats-Unis fourniront une assistance aux réformes prévues par le récent Accord sur la facilitation des échanges de l’Organisation mondiale du commerce pour diminuer le coût de l’activité commerciale en Afrique.

Ces réformes augmenteront l’efficacité douanière et faciliteront l’accès à de nouveaux marchés d’exportation grâce à des mesures comme la transparence des pratiques douanières, la publication en ligne des informations douanières, la réduction des documents requis et le traitement avant arrivée des documents.

Ces procédures se traduiront par une réduction des délais aux frontières pour les négociants, une diminution de la corruption et une augmentation des débouchés.

• Par le biais de TMEA, les Etats-Unis continueront à soutenir les actions visant à limiter les délais de transit le long des couloirs de transport de la Communauté d’Afrique de l’Est (CAE), y compris par le passage des pays aux plates-formes électroniques et, pour finir, aux systèmes de guichet unique ainsi que par l’instauration de postes frontières à arrêt unique où l’ensemble des formalités (entrée-sortie) est accompli en un seul point.

• Par le biais de l’USAID, les Etats-Unis continueront à soutenir le passage des pays africains à des plateformes douanières régionales communes et informatisées comme la plateforme RADDex 2.0 (Revenue Authority Digital Data Exchange – Echange de données numériques des administrations des recettes fiscales) de la CAE. L’USAID continuera également à soutenir les efforts des partenaires du secteur public et privé africain visant à mettre en lumière et à traiter les obstacles au transport et au commerce. Dans ce cadre, l’assistance à l’alliance Borderless en Afrique de l’Ouest sera poursuivie.

• Par le biais de l’USAID et du département des Transports, les Etats-Unis vont fournir une assistance technique pour la mise à niveau et l’harmonisation des réglementations et des normes dans le secteur des transports, ce qui facilitera les flux de marchandises, renforcera la sécurité et incitera à une utilisation plus rationnelle des ressources des transports ».

Consolider le renforcement des capacités commerciales, la production de valeur ajoutée et les chaînes logistiques pour améliorer l’usage de l’AGOA

Dans de nombreux cas, les producteurs africains ont des difficultés à exporter vers les Etats-Unis au titre de l’AGOA parce qu’ils ne répondent pas aux exigences sanitaires et phytosanitaires (SPS) des Etats-Unis ou aux normes de qualité et de marketing ou qu’ils manquent d’autres compétences techniques.

Les Etats-Unis vont proposer une gamme d’assistance au renforcement des capacités commerciales pour régler ces contraintes et pour cibler des chaînes logistiques prioritaires pour l’exportation.

Renforcement des capacités à répondre aux mesures SPS.

Par l’intermédiaire de l’USAID et du département de l’Agriculture, les Etats-Unis aident les gouvernements africains à se doter des capacités institutionnelles nécessaires pour utiliser des dispositifs scientifiques de santé animale et végétale et de sécurité des aliments, en harmonie avec les normes internationales.

Les Etats-Unis lancent un nouveau programme quinquennal sur la politique et les réglementations SPS pour soutenir les communautés économiques régionales et l’année de l’agriculture de l’Union africaine.

Ce programme permettra d’accroître les capacités en laboratoire, de mettre en place des contrôles de l’aflatoxine et d’améliorer les réglementations et structures normatives en Afrique subsaharienne, de concert avec les programmes des initiatives Feed the Future (Initiative alimentaire pour l’avenir) et Trade Africa ainsi qu’avec la campagne Faire des affaires en Afrique.

Renforcement des capacités à répondre aux normes de qualité et de marketing.

Les Etats-Unis se proposent d’étendre leur initiative Alliance des standards, partenariat public-privé entre l’USAID et l’American National Standards Institute, afin d’aider les producteurs africains à obéir aux exigences américaines en matière de normes de qualité et de marketing. Les travaux ont déjà commencé avec la CAE, sous l’égide de Trade Africa, et avec la Communauté de développement d’Afrique australe. L’USTDA s’associera également avec la National Electrical Manufacturers Association pour le Programme Etats-Unis-Afrique de coopération sur les normes dans le secteur énergétique.

Cette série d’ateliers techniques vise à créer les conditions d’un engagement approfondi entre le secteur public et privé aux Etats-Unis et les pays d’Afrique subsaharienne afin d’accroître la coopération sur les normes et les réglementations pour les infrastructures énergétiques réseau et hors réseau.

Investir dans le renforcement des compétences.

Les Etats-Unis vont mobiliser des projets comme l’Initiative sur les jeunes leaders africains (YALI), le Programme pour l’entrepreneuriat féminin en Afrique, l’Education supérieure pour le développement ainsi que les programmes de bourse Cochran et Borlaug du département de l’Agriculture, de même que l’expertise d’organismes gouvernementaux comme la Small Business Administration, pour donner des formations ciblées conçues pour accroître les compétences commerciales des chefs d’entreprise africains et augmenter la productivité dans les secteurs clés, y compris par la formation à distance.

Développer les politiques favorisant la croissance économique.

Grâce à des processus bilatéraux et à sa collaboration avec les institutions financières internationales, les Etats-Unis vont amplifier les actions destinées à promouvoir les politiques intérieures favorisant la croissance économique. Les réformes incitant à la transparence, à la gestion publique des finances, à l’équité des marchés publics et les efforts de renforcement du cadre réglementaire aideront les pays africains à améliorer la prévisibilité des investissements intérieurs et étrangers et leurs capacités aux échanges.

Créer de nouveaux marchés pour l’Afrique : Promouvoir l’intégration régionale.

Pour améliorer la compétitivité de l’Afrique et accroître l’approvisionnement en provenance de l’Afrique, il est essentiel d’approfondir l’intégration régionale. Les Etats-Unis s’efforcent de promouvoir l’intégration régionale au moyen d’un certain nombre de directives et de programmes. Ainsi, par l’intermédiaire du département du Trésor, ils coopèrent avec la CAE pour la mise en place d’un système de paiement intégré qui facilitera les mouvements transfrontaliers de marchandises, de services et de capitaux. En outre, dans le cadre de Trade Africa, les Etats-Unis étudient un accord d’investissement régional avec la CAE.

Cet accord favorisera des pratiques communes et un meilleur climat pour les investissements au sein de toute la zone de la CAE. A mesure de l’avancement des travaux de Trade Africa, initialement centrés sur la CAE, le projet sera progressivement étendu à l’Afrique subsaharienne.

Transformer les centres de commerce existants en centres de commerce et d’investissement entre les Etats-Unis et l’Afrique.

Les Etats-Unis vont effectuer une montée en puissance des actuels centres de commerce africains qui deviendront des centres de commerce et d’investissement entre les Etats-Unis et l’Afrique, mieux à même de soutenir les exportations africaines vers les Etats-Unis et de créer de nouveaux débouchés pour les investissements américains et les exportations américaines en Afrique.

Accroître la présence commerciale du gouvernement américain en Afrique.

Le département du Commerce double sa présence en Afrique tandis que l’USTDA et l’OPIC dépêchent sur place du personnel supplémentaire afin de faciliter l’augmentation des échanges et des investissements avec l’Afrique.

Amener le Sommet mondial de l’entrepreneuriat en Afrique du Nord et en Afrique subsaharienne.

Le Sommet mondial de l’entrepreneuriat est une tribune privilégiée qui permet aux chefs d’entreprises de faire connaître leurs activités, de nouer de nouvelles relations professionnelles et de s’informer des dernières nouveautés dans leur domaine. Il se tiendra au Maroc en novembre. Un pays d’Afrique subsaharienne accueillera cette manifestation pour la première fois en 2015.

Les 25872 producteurs membres de de la fédération des maïsiculteurs de Côte d’Ivoire (FEMACI) disposent désormais d’une Centrale d’achat pour une meilleure commercialisation de leurs produits. Cette importante décision a été prise lors d’une assemblée générale constitutive de la FEMACI à Niakara.

Vendre en groupe pour éviter de se faire spolier, tel est l’objectif de cette Centrale d’achat mise sur pied au profit des maïsiculteurs de Côte d’Ivoire. Selon M.N’zi Kouassi Eugène, président de la FEMACI, la Centrale d’achat va jouer un rôle entre les partenaires et la FEMACI. « La Centrale d’achat est extrêmement importante pour nous. C’est notre canari », a indiqué M.N’zi qui n’a pas manqué de relever le poids économique du maïs dans notre pays.

Présents à ces assises, plusieurs partenaires tels Planet Garantie, la caisse d’épargne, l’Inades, la Coopération allemande, le FIRCA, l’ANADER et ITPCAPD ont réitéré leur engagement d’accompagner les maïsiculteurs dans leur volonté d’organisation. Et la commercialisation étant l’épine dorsale de la production de maïs, une réponse a été trouvée par la FEMACI.

Ainsi, les producteurs n’auront plus de souci à se faire puisque ITPCAPD, une société ivoirienne, spécialisée dans la vente de lubrifiants de moteur et de prestations diverses, ambitionne de contribuer au mieux-être des maïsiculteurs ivoiriens. Cela, dans le cadre de son volet Agriculture. Cette entreprise s’est engagée à acheter la production de la fédération des maïsiculteurs de Côte d’Ivoire.

En témoigne les propos de M.Donga Francois, technico-commercial à l’international des Technologies de Produits de Construction, d’Agriculture et de Prestations Diverses (ITPCAPD). « Au niveau de la division Agriculture, le maïs constitue notre centre d’intérêt focal…S’agissant du volet spécifique de la commercialisation de vos produits, donc de votre maïs, ITPCAPD est tout à fait disposée à garantir l’achat de toute votre production de manière à ce que vous vous n’ayez plus de soucis de débouchés ou d’avoir sous vos bras les fruits de votre labeur » , a annoncé M.Donga.

Une initiative saluée à sa juste valeur par le préfet du département, M. Ya N’Guessan qui a saisi cette opportunité pour encourager M.N’zi Kouassi Eugène et son équipe à poursuivre sur la voie du développement de la maïsiculture en Côte d’Ivoire, lui donnant l’assurance de l’accompagnement de l’Administration territoriale dans cette opération de professionnalisation et de modernisation de la filière maïs.

Le Conseil des ministres du mercredi 14 janvier 2015 a adopté une communication relative au traitement phytosanitaire des vergers de manguiers contre les mouches des fruits.

La pullulation des mouches des fruits, due essentiellement aux perturbations climatiques, a eu pour conséquence une attaque plus importante des mangues au cours de l’année 2014.

Ainsi, aux fins de préserver la filière et les débouchés de la production ivoirienne de mangues sur le marché européen, le Conseil a décidé de procéder, dès le mois de février 2015, à une opération de traitement phytosanitaire de l’ensemble du verger en vue de réduire significativement l’effet des mouches des fruits. Cette opération coûtera 1 726 000 000 de francs CFA et sera prise en charge par l’Etat.

Par ailleurs, des experts gouvernementaux et du groupe des Etats ACP travaillent à l’élaboration d’un plan de protection de la filière mangue incluant des actions durables de lutte contre les mouches des fruits.

Qu’est-ce l’intelligence économique ? Voilà une question importante que se posent toutes les entreprises ivoiriennes et notamment les Toutes Petites Entreprises (TPE) et les Petites et Moyennes Entreprises (PME), pour leur développement et leur compétitivité.

Pour répondre à cette question qui intéresse non seulement les entreprises, les politiques et les médias, le Centre de Commerce International (ITC), dans le cadre du Programme d’Appui au Commerce et à l’Intégration Régionale (PACIR), financé par l’Union Européenne(UE), a mis en place un certain nombre d’outils dont le Réseau National d’Information Commerciale (RNIC). Et c’est dans ce cadre qu’a été élaboré un document intitulé « GUIDE de l’intelligence économique pour les TPE/PME en Côte d’Ivoire ».

Les objectifs de l’intelligence économique

Les objectifs de ce guide sont de sensibiliser, informer et développer la notoriété du Réseau National d’Information Commerciale (RNIC) et de le dynamiser, mais également de permettre aux PME de s’initier à la veille pour accroitre leur compétitivité.

Ce guide permet, enfin, de développer chez les PME, le réflexe de la veille et de l’intelligence économique. Il contient également des bonnes pratiques, des ressources, des outils, et des conseils dédiés aux TPE et PMI-PME.

Ce précieux ouvrage est à la disposition de tous. Il vous suffit simplement de cliquer sur le dossier ci-dessous pour ouvrir ce grand livre, le lire et même le télécharger.

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